
L’Association pour la Protection des Droits Humains (APDH) a saisi l’Assemblée nationale pour demander le réexamen de la loi n°2020-05 du 10 janvier 2020 criminalisant le viol et la pédophilie. Elle estime que certaines dispositions posent problème, notamment en raison d’accusations jugées abusives ou instrumentalisées, et appelle à un meilleur encadrement juridique afin de protéger à la fois les victimes et les personnes injustement mises en cause.
