
Yum Yum apporte des précisions sur les récents faits le concernant. L’entreprise confirme avoir été victime d’actes illicites commis par un de ses managers en formation, déjà condamné par la justice. Elle dément en revanche plusieurs informations circulant sur les réseaux sociaux, notamment le prétendu hébergement de l’auteur au restaurant, une perquisition ou encore la somme de 40 millions évoquée. La condamnation a eu lieu le 3 septembre, et non le 15 septembre comme indiqué par certaines sources.
Clarification :
- Vrai : Yum Yum a été victime d’actes illicites de la part d’un de ses managers en formation.
- Vrai : la justice a condamné l’auteur des faits.
- Faux : l’auteur des faits n’était pas hébergé dans une chambre au restaurant.
- Faux : aucune perquisition n’a eu lieu et les 40 millions mentionnés sont fantaisistes et sans lien avec le préjudice estimé par l’entreprise.
- Faux : l’auteur des faits n’a pas été condamné le 15 septembre, mais le 3 septembre.
