
Lors d’une session extraordinaire, plusieurs députés ont plaidé pour une hausse des taxes sur les crèmes de dépigmentation, bouillons culinaires et boissons sucrées, jugés dangereux pour la santé publique.
L’objectif est double : mobiliser davantage de ressources pour l’État et dissuader la consommation de produits à l’origine de pathologies chroniques comme l’hypertension, le diabète ou l’obésité.
Les élus espèrent ainsi freiner la dépigmentation, encourager une alimentation plus saine et responsabiliser les industries agroalimentaires, tout en soulevant la question de l’impact de ces mesures sur le coût de la vie des ménages.
